Cher Père Noël

Cette année, nos chroniqueuses écrivent, elles aussi, leurs lettres au Père Noël !

Lettre à mon fils préado

Le jour où j’écris cette lettre c’est le jour de l’anniversaire de Nuage. 11 ans c’est l’entrée dans la pré adolescence, l’entrée au collège et cela procure en moi des émotions très contradictoires.

Nous les parents novices * Réédition *

Aujourd’hui, notre fille a 18 mois. Nous avons tâtonné comme tous nouveaux parents mais désormais, nous sommes convaincus du type d’éducation que nous allons lui donner.

J’aime pas Noël

Cette phrase, je l’ai répétée à beaucoup de gens. Mais je dois bien admettre que je suis une petite personne bourrée de contradictions. Peut-être que je devrais plutôt dire « J’aime pas Noël mais en vrai y’a quand même des trucs que j’aime bien ».

10 chansons qui me rappellent mes enfants

Devenir mère a tout changé dans ma manière d’écouter la musique. Avant, une chanson me plaisait pour son rythme ou sa poésie. Aujourd’hui, elle devient un pont : entre ce que j’étais et ce que je suis devenue, entre mes failles et ma force, entre mes enfants et moi.

Pas trop vite

Tu n’as que sept ans, ma douce. Sept ans et déjà cette impatience dans le regard, cette façon de vouloir comprendre, tout, tout de suite, de vouloir débattre, questionner, réclamer.

Le silence des parents aidants

Il y a des silences qui hurlent, des silences qui contiennent plus de mots qu’aucune phrase ne saurait porter, et des silences qui s’installent dans la chair, dans le souffle, dans le regard. C’est dans ce silence-là que vivent beaucoup de parents aidants.

Quand la tempête habite un enfant : le trouble oppositionnel avec provocation

Grondements, éclairs, tension dans l’air. Il y a des orages qu’on entend venir de loin. Et puis il y a ceux qui surgissent sans prévenir, d’un mot de travers, d’un regard mal compris, d’une consigne anodine. Chez nous, ces tempêtes portent un nom : le trouble oppositionnel avec provocation (TOP).

Mon deuxième congé maternité

J’ai pris 6 mois de congé parental, en plus de mon congé maternité, pour m’occuper de mon fils, nouveau né, Timour. Je viens te raconter ce que j’en retiens !

Toi qui n’existes que dans mes rêves

J’ai grandi, je me suis réellement mariée, et j’ai fait un bébé. Rien ne s’est passé comme je l’imaginais petite pour sa naissance. Mais malgré les difficultés que nous rencontrions, mon post-partum dévastateur, j’ai très vite voulu un autre enfant. J’en ai fait un autre. Et je me suis jurée que ça serait le dernier.