Les tâches ménagères
Cet article est paru sur l’ancien site Dans Ma Tribu le 17 octobre 2018. Comme d’autres chroniqueuses, j’ai décidé de ne pas laisser perdre ces écrits et de les publier à nouveau sur Bribes de Vies… avec un petit update, c’est toujours intéressant 4 ans après de voir ce qu’il en est !
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« Mets la table », « Range ta chambre », « Fais ton lit »… Arrrg, que je les ai détestées ces petites phrases ! Toi aussi tu les as sans doute entendues… et dites. Aujourd’hui, tu l’as compris on va parler tâches ménagères !
De notre enfance à celle de Schtroumpfette
M. Chéridamour et moi avons tous les deux grandi avec une maman au foyer. Pour autant, il était hors de question pour elles de se charger de tout. Avec 4 enfants d’un côté et 3 de l’autre, elles avaient chacune suffisamment à faire et nous avons toujours mis la main à la pâte. Il est inenvisageable pour moi que mes enfants ne participent pas aux tâches ménagères, pareil pour M. Chéridamour.
Nous avons commencé assez tôt à demander à Schtroumpfette de se charger de ce qui était à sa portée. Pour qu’elle devienne autonome, qu’elle apprenne que la vie est faite de jeux mais aussi de contraintes, qu’elle participe et ainsi se sente intégrée complètement au foyer. Et puis j’ai une réputation de marâtre à tenir non mais !
Des tâches en fonction de l’âge
2-5 ans
Toute petite, elle avait pour consigne de ranger un jeu dès qu’elle en sortait un autre (le plus souvent avec notre aide) car nous ne voulions pas que le séjour devienne une salle de jeux. Dans sa chambre en revanche elle pouvait laisser du bazar car c’était son espace rien qu’à elle.
A partir de 4 ans, elle devait réparer ses bêtises quand elle en faisait (renverser son verre d’eau, casser de la vaisselle, abîmer un objet…) En général nous ne la grondions pas (même si l’agacement pointait parfois le bout de son nez) mais nous l’aidions, nous lui expliquions que ce n’était pas grave tant qu’elle arrangeait son erreur.
Vers 5 ans, nous lui avons demandé de tenir sa chambre rangée. Pas très exigeants en la matière, nous avons acheté des bacs, elle peut y mettre tout mélangé. La chambre paraît ainsi nette et tout le monde est content. Schtroumpfette a parfois des « crises de rangement » : elle va tout sortir et ranger proprement d’elle-même. Aujourd’hui c’est bien fait, mais à l’époque c’était assez drôle : « regarde comme j’ai tout bien rangé » dixit la demoiselle en me montrant son petit train de bois et ses playmobils bien gentiment alignés par terre le long des murs (difficile de se retenir de rire pour ne pas la vexer !)
6-8 ans
Dès ses 6 ans, son lit était à faire tous les matins. Cela consistait à rabattre sa couette, rien d’insurmontable pour elle.
A partir de 7 ans, elle a dû mettre la table. Quand nous avons des invités nous l’aidons mais d’ordinaire c’est elle qui s’en occupe. Pour ce qui est de ses vêtements, elle doit les poser proprement sur une chaise le soir et les mettre dans la machine à laver quand ils sont sales. Le plus dur encore aujourd’hui c’est de lui faire comprendre de ne pas les laisser en boule et de vider les poches ou de ne pas remettre des affaires sales mélangées avec les propres.
Quand elle a eu 8 ans, nous avons acheté un lave-vaisselle. Révolution pour nous et pour elle puisqu’elle s’est vu confier un nouveau travail : le vider quand il a fini de tourner. Pas le remplir, ce n’est pas forcément évident de tout bien organiser (il est assez petit) et nous avons longtemps préféré le faire nous-même.

Schtroumpfette a eu envie d’avoir une plante dans sa chambre. Accordé ! En contrepartie, la partie arrosage lui revenait si elle voulait qu’elle reste en bonne santé.
9-12 ans
Vers 10 ans, nous avons commencé à lui demander de nous aider ponctuellement pour certaines tâches : débarrasser ses couverts sales dans le lave-vaisselle, essuyer la table après le petit-déjeuner et avant d’y travailler/jouer, nous aider à ranger les courses, ouvrir les volets le matin, ranger ses chaussures et son sac en rentrant de l’école, nous aider à étendre puis plier le linge…
12 ans – ad vitam æternam (ou jusqu’à ce qu’elle quitte la maison)
Dans les années qui viennent, nous allons faire en sorte qu’elle mette la main à la pâte en cuisine. C’est quelque chose qui ne l’intéresse pas du tout mais c’est indispensable selon moi. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’étant enfant puis ado, je n’ai jamais mis les pieds dans la cuisine sauf pour manger les crêpes chaudes, lécher la cuillère de chocolat ou faire chauffer mon lait le matin. Et quand à 20 ans tu te retrouves seule face à un paquet de riz pour la première fois, tu te sens légèrement bête (EUPHÉMISME !! Et on ne se moque pas, je ne suis certainement pas la seule, si ?) Je préférerais que Schtroumpfette soit capable de se nourrir toute seule, sache éplucher les légumes, faire une salade, cuire des œufs, cuire des pâtes, préparer un gâteau… Ça tombe d’ailleurs bien : après un séjour d’une dizaine de jours chez ses grands-parents cet été, elle nous a d’elle-même dit qu’à partir de maintenant elle préparerait un plat par semaine (avec notre aide). Merci super mamie de l’avoir encouragée dans ce sens !
Ce que nous ne lui demanderons pas
Il y a par contre des tâches dont elle n’aura pas à s’occuper :
- le repassage : je trouve ça peu évident. Je lui montrerai et apprendrai plus tard comment faire si elle a besoin de se repasser quelque chose en urgence. Mais au quotidien, c’est une tâche assez pénible que je préfère ne pas lui imposer (flash info : en plus c’est un moment où je réquisitionne la télé et où j’ai le pouvoir absolu dessus, je ne veux pas perdre ce privilège !)
- laver la voiture
- nettoyer la cuisine ou la salle de bain : le four, les toilettes, les plaques de cuisson… Clairement, j’ai du mal à l’imaginer s’en occuper. Rincer la douche et le lavabo s’ils sont sales après qu’elle les ait utilisés oui, mais pour le reste M. Chéridamour et moi continuerons à nous en charger.
- s’occuper du jardin : passer la tondeuse, désherber…
- Nous aider pour faire des travaux.
Nous lui apprendrons, lui montrerons mais ça restera nos tâches. Parce que si elle fait tout, on va s’ennuyer non ? (on me souffle que non !)
L’organisation
M. Chéridamour a parfois tendance à accomplir les tâches de Schtroumpfette car il n’a pas envie de la déranger et il trouve qu’elle a déjà beaucoup à faire avec l’école. Je lutte contre mais ce n’est pas évident et j’ai parfois tendance à faire pareil. Nous avons très rarement eu à affronter un refus d’accomplir quoi que ce soit de sa part.
Elle est assez obéissante. Quand elle rechignait un peu, nous faisions avec elle pour la motiver. Et parfois, ce sont les concours qui venaient à la rescousse : « on va chronométrer et voir si tu peux ranger les Légos en moins de 30 secondes », « tu ne finiras pas de remettre ton puzzle dans la boîte avant que j’ai fini de passer l’éponge
sur la table ! »
Ce que nous faisons quasi systématiquement quand nous lui rappelons quelque chose qu’elle doit réaliser, c’est de toujours dire « s’il te plaît » et de la remercier une fois que c’est fait. Cela peut sembler idiot, mais c’est important pour nous. Simplement reconnaître et montrer que l’on apprécie l’effort qui a été fait. A contrario, nous avons toujours été opposés au fait de distribuer des « bons points » ou de l’argent quand elle faisait ce qu’elle devait (mais si elle désire pour gonfler un peu son argent de poche nous aider sur certaines tâches qui ne lui sont pas dévolues en temps ordinaire nous lui donnons un petit quelque chose). Une évidence pour nous est également de montrer l’exemple. Honnêtement, nous n’avons jamais été très à cheval sur le lit fait. Comment reprocher à Schtroumpfette de ne pas le faire tous les jours ? Depuis, nous avons changé nos habitudes et par conséquent elle aussi.
Lors de l’agrément, l’assistante sociale a parlé avec elle de cet aspect de son éducation. Schtroumpfette a évoqué le fait qu’elle n’aimait pas ses corvées. Au mot « corvées », l’assistante sociale a bondi et nous a traité de bourreaux d’enfant, puis l’a requalifié en « participation aux tâches collectives familiales » (#positiveattitude). Cela nous a été utile car nous avons pu discuter et comprendre que Schtroumpfette en voyait l’intérêt et ne le contestait pas mais que ça l’embêtait d’être interrompue dans ce qu’elle était en train de faire. Dans la mesure où elle accomplit ce qu’elle doit, nous avons un peu levé le pied avec M. Chéridamour et modifié nos attentes. Excepté quand c’est urgent (et nous lui expliquons pourquoi), elle s’organise comme elle veut. Après tout, que le lave-vaisselle soit vidé à 17h15 ou 19h30, cela n’a pas d’importance. Elle sait ce qu’elle doit faire et agit en conséquence ce qui va dans le sens de l’autonomie que nous souhaitions lui donner… et nous en sommes très fiers.
Comme promis, le petit update 4 ans plus tard.
Schtroumpfette nous aide toujours très bien aux tâches ménagères. Quand elle voit qu’on est fatigués, elle demande systématiquement ce qu’elle peut faire pour aider. Elle a appris les bases de la cuisine et tond parfois la pelouse à la demande de son papa. Par contre, comme elle est très prise par ses devoirs, on a tendance à la décharger de certaines de ses tâches en période scolaire.
Pirlouit quant à lui participe déjà énormément. C’est ancré chez lui après des années en orphelinat : les enfants devaient faire eux-mêmes car il sait plier son linge et passer le balai, range ses jouets tous les soirs sans râler, veut mettre la table, vider le lave-vaisselle, étendre le linge… Cela va même plus loin pour lui : il est vraiment triste de ne pas pouvoir nous apporter son aide, parfois presque en larmes. La problématique avec lui est différente : nous devons faire en sorte qu’il garde sa place d’enfant et refuser qu’il effectue des tâches qui sont trop avancées en âge pour lui (passer le balai par exemple) tout en acceptant son besoin d’être avec nous et de faire comme nous. Il veut aider à étendre le linge ? Il s’occupe de ses affaires et des petits vêtements. Il demande à plier le linge ? Je lui ai montré comment faire, et il fait s’il veut, sinon il range les vêtements. Il souhaite nous aider à faire le lit ? Il s’occupe de la taie d’oreiller. C’est un équilibre à trouver, nous commençons tout juste !
Et si tu te poses la question : je ne me rappelais même pas qu’on avait autorisé une plante à Schtroumpfette, elle n’a pas du survivre longtemps !
C’est cool comme tâches ménagères 😊
Ma maman, aussi mère au foyer de 3 enfants, était un peu plus rude 😅. À 8 nous savions faire un gâteau, faire cuire des pâtes et éplucher les légumes. Mettre la table on le faisait chacun notre tour dès le CP je pense. En pendant les vacances (horreur !!) nous avions une liste de tâches (2 chacun) à effectuer au choix : nettoyer le frigo, la salle de bain, passer l’aspirateur dans toute la maison…
Les corvées supplémentaires comme laver la voiture nous valait une petite pièce 😊
On avait l’impression d’être exploités par rapport à nos copains. Mais bon c’est vrai qu’au moment de partir de la maison nous étions plus que prêts !!
Je suis moins exigeante avec mon fils qui a 6 ans, et qui surtout ne se gêne pas pour dire non quand je lui demande juste de monter sa pile de vêtements dans sa chambre. Hum… J’espère l’impliquer plus cette année : avec le CP il se sent plus grand.
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Ah oui, c’est très exigeant comme tâches ménagères !!
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Ici aussi nous impliquons les enfants dans les taches ménagères en fonction de leur âge. En fait ce serait plutôt l inverse qui me poserait question.
Mettre la table, débarrasser, ranger ses jouets ça me parait être un minimum et ça contribue à donner du sens à la collectivité familiale et j espère déclencher chez eux la même chose a l extérieur (école…)
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Oui, je trouve aussi qu’il y a un minimum. Je ne connais d’ailleurs aucune famille où l’enfant ne fait rien…
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J’ai été élevée par une mère qui voyait ses enfants comme de la main d’œuvre facile au niveau du ménage et du rangement; mes sœurs ont adopté deux stratégies différentes en réponse : l’une impose une discipline militaire à ses 4 enfants et impose une participation importante aux tâches ménagères, l’autre limite les exigences à minima.
Pour ma part, c’est plutôt le fait d’être difficilement autonome sur certaines tâches auxquelles ma mère refusait que je participe au moment de mon départ de la maison(la cuisine par exemple ou l’administratif) qui m’a décidée à initier progressivement mon fils à toutes les tâches ménagères.
Depuis qu’il a 3-4 ans, c’est lui qui met la table et mettre ses vêtements sales à la banette. Depuis qu’il a cinq ans, il doit ranger sa chambre (ce qui prend du temps et demande souvent qu’on l’aide en organisant des étapes) et passer l’aspirateur dans celle-ci. Depuis cette année (il a presque 7 ans), je lui demande de ranger une partie de son linge.
Il sait aussi éplucher des légumes (depuis ses 3 ans en vrai) et préparer une omelette, même si pour l’instant, c’est moi qui assure la cuisson.
Je pense qu’à terme, je le ferais participer pleinement au ménage afin qu’il soit parfaitement autonome sur la question, ainsi qu’à la conception des repas (dans quelques années).
Le plus drôle, c’est que ma mère trouve que je lui en demande trop alors qu’en vrai, mes demandes sont plus faibles que les siennes quand j’avais l’âge de mon fils.
Je me demande si c’est le temps qui atténue les souvenirs, le fait qu’elle soit à la retraite ou bien le fait que ce soit un garçon qui joue le plus.
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Je trouve la réflexion très intéressante concernant les exigences vis à vis de son enfant ou de son petit-enfant ! Les grands-parents ont tendance à être plus souples dans ce qu’ils demandent, mais c’est surtout parce qu’ils n’ont pas les petits-enfants à demeure… Mais mes parents trouvent normal ce qu’on demande à Schtroumpfette et Pirlouit, ils n’ont pas changé de discours depuis mon enfance.
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je trouve ce thème compliqué! je me rapelle ainsi de détester mettre la table enfant (mais peut-être étais-ce une question de « timing » comme schtromphette?..) et de dire à ma mère « moi mon travail c’est mes devoirs » ^^. Mon fils ainé (4 ans) débarasse son assiette (la met dans la cuisine quoi), fait son lit le matin (remet bien la couette), aide sylmboliquement à la cuisine (surtout de l’observation à ce stade) et répare ses bêtises (nettoyer le sol, ranger les choses jetées par terre) et met ses habits sales dans le bac à linge. On ne leur fait pas ranger leurs jeux du salon le soir (on devrait probablement mais le soir on est en tel rush..) et j’hésite donc pour la mise de la table vu que je détestais ça enfant. Après je vois aider au jardin ou cuisiner plutot comme des privilèges que comme des corvées :-). Pour le reste il faudrait vraiment que je passe au dessus de mon blocage et que j’arrive à leur montrer qu’aider est une manière de participer à la communauté.. mais c’est pas évident je trouve..
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Pour le coup, on est assez exigeants avec Pirlouit pour les jouets ! On refuse de passer 30 minutes tous les soirs à les ranger, surtout qu’il met le salon dans un état pas possible !
Personnellement, je vois les « corvées » comme autant de moments passés ensemble. Quand Schtroumpfette était petite, on ne restait pas assis tranquillement sur notre chaise pendant qu’elle mettait la table par exemple. On cuisinait, faisait la vaisselle, ou l’aidait tout en discutant. C’est beaucoup plus agréable. Idem quand on pliait le linge. Elle nous a dit elle-même que ça lui allait car justement elle n’avait pas ce sentiment d’être corvéable (contrairement à chez sa maman où effectivement elle faisait les choses seule et le vivait beaucoup plus mal). C’est peut-être une piste à creuser pour ton blocage ?
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Un point de vue sympa ! Je me demande pourquoi avoir attendu jusqu’à 4 ans pour demander de réparer ses bêtises ? Pour notre aîné, c’est une demande qui est apparue de façon récurrente et formelle vers ses 3 ans, mais ça sera certainement plus tôt pour sa petite sœur, par simple imitation. Il s’agit par exemple de chercher un torchon pour essuyer un verre renversé, ou rescotcher sous supervision un livre déchiré.
Nos enfants adorent passer le balai (même s’ils étalent plus la saleté qu’ils ne la ramassent) et l’aspirateur, et nous faisons ça volontiers avec eux quand ils le désirent. Leur confier le balai télescopique (mis à leur taille) ou le ramassoir tout en maniant nous même le grand balai fonctionne bien. Ils adorent aussi laver les vitres (mais je déteste quand ils le font parce que le sol se retrouve trempé et que je passe mon temps à empêcher la petite de lécher le produit à vitre … Mais leur père les canalise mieux que moi dans cette activité alors c’est devenu un truc « spécial papa »).
Notre aîné (3 ans) commence à arriver à enfiler ses vêtements et ses chaussures, donc il doit maintenant se préparer tout seul avant de partir de la maison pendant que nous nous occupons de nous ou de sa sœur. Ça fait bizarre de lui dire « enfile tes chaussettes et chaussures maintenant si tu ne veux pas que le bus parte sans nous », alor qu’il y a peu c’était notre responsabilité.
On a récemment aussi demandé à notre grand de poser son pyjama sur son lit quand il s’habille et de mettre ses vêtements toujours au même endroit (à côté de la table à langer) s’il les enlève dans la journée, et pour l’instant il se tient assez bien à ces règles.
Et nous rappelons toujours lors du retour à la maison que la première chose à faire en arrivant et d’enlever et de ranger chaussures et manteau (même si pour l’instant ça reste très souvent juste jeté en vrac par terre… quand ils les enlèvent avant d’aller courir au salon…).
Quant à mettre la table, le enfants peuvent choisir leur assiette et leurs couverts, donc ça les motive à participer quand ils nous voient préparer le repas, mais je me demande ce que ça deviendra quand ils auront à chaque repas les mêmes assiettes de grand absolument pas rigolotes… « Arrêtez de jouer et venez mettre la table » est vraiment l’injonction que je détestais le plus en étant petite (avec « aère ton lit » et 15 minutes plus tard « fais ton lit quand il a finit d’aérer »). Nous n’avons pas encore considéré le sujet du débarrassage de la table… Mais ils lancent à tour de rôle le lave-vaisselle.
Les enfants détestent ranger les jouets, sauf quand on leur rappelle que c’est pour éviter que quelqu’un glisse dessus ou que le robot-aspirateur les mange (c’est franchement leur motivation numéro une à ne pas laisser trop de trucs traîner par terre quand ils changent de pièce !).
Merci de ce partage qui donne des idées !
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On a habité ensemble avec Schtroumpfette quand elle avait quasiment 4 ans, c’est pour ça que je disais 4 ans, ça a dû commencer un peu avant mais je n’en ai pas de souvenirs !
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